Exposition. Nicolas Faure, l’ordre des choses
Ferme-Asile Sion
Promenade des pêcheurs 10
Nicolas Faure
La Ferme-Asile accueille l’artiste Nicolas Faure pour l’exposition L’ORDRE DES CHOSES à la Grenette et en collaboration avec les artistes Florian Rubin, Ma Neveu et Olivier Ferry. Après des années passées à observer et photographier le réseau autoroutier suisse et ses abords, Nicolas Faure pose son regard depuis 2018 sur un autre type de paysage marqué par la trace de l’intervention humaine : les jardins de propriétés privées. Au fil des saisons, l’artiste a photographié des jardins privés de villages valaisans de la commune de Noble Contrée, Crans-Montana et Fully. Pour ce projet, il adopte la perspective du riverain, mettant indirectement en lumière les fonctions de ces espaces verts. Espaces intermédiaires entre la rue et l’habitat, le public et le privé, prolongation de la nature environnante ou nouvelle pièce à vivre aseptisée, ses œuvres traduisent aussi et indirectement, les préoccupations sociétales de notre époque, au croisement des imaginaires symboliques et politiques.
L’intégration d’une bande-son minimale réalisée en réponse au travail de Nicolas Faure par les artistes Florian Rubin, Ma Neveu et Olivier Ferry ajoute une dimension sensorielle supplémentaire au projet. Le paysage sonore crée une atmosphère étrange et muable, qui accompagne discrètement le public dans sa déambulation.
Nicolas Faure
Exposition. Nicolas Faure, l’ordre des choses
La Ferme-Asile accueille l’artiste Nicolas Faure pour l’exposition L’ORDRE DES CHOSES à la Grenette et en collaboration avec les artistes Florian Rubin, Ma Neveu et Olivier Ferry. Après des années passées à observer et photographier le réseau autoroutier suisse et ses abords, Nicolas Faure pose son regard depuis 2018 sur un autre type de paysage marqué par la trace de l’intervention humaine : les jardins de propriétés privées. Au fil des saisons, l’artiste a photographié des jardins privés de villages valaisans de la commune de Noble Contrée, Crans-Montana et Fully. Pour ce projet, il adopte la perspective du riverain, mettant indirectement en lumière les fonctions de ces espaces verts. Espaces intermédiaires entre la rue et l’habitat, le public et le privé, prolongation de la nature environnante ou nouvelle pièce à vivre aseptisée, ses œuvres traduisent aussi et indirectement, les préoccupations sociétales de notre époque, au croisement des imaginaires symboliques et politiques.
L’intégration d’une bande-son minimale réalisée en réponse au travail de Nicolas Faure par les artistes Florian Rubin, Ma Neveu et Olivier Ferry ajoute une dimension sensorielle supplémentaire au projet. Le paysage sonore crée une atmosphère étrange et muable, qui accompagne discrètement le public dans sa déambulation.