Jusqu'au 17.8.2024

Exposition. Jardin – Sebastián Dávila
Wunderkammer revient avec une 8ème Plateforme

Lausanne

Chemin des Clochetons 31
1004 Lausanne

Par l’occupation temporaire d’un ancien atelier de peinture situé sur le chemin des Clochetons à Lausanne, Wunderkammer se propose de réfléchir collectivement à ce qui définit un espace d’art et sa création.

Des artistes vont alors en explorer la structure, l’usage et le partage à partir des quatre éléments de l’architecture, énoncés par le théoricien de l’architecture Gottfried Semper, et auxquels un élément se rajoute : avec la clôture, la toiture, le terrassement et le foyer, place également au jardin ! Pensé en écho et verni au fil des mois, chaque chapitre convoque de nouvelles voix pour former un dialogue en palimpseste.

Pour ce troisième chapitre consacré au Jardin, l’artiste Sebastián Dávila propose une réflexion sur notre interdépendance avec les moineaux – dont la population décroît aujourd’hui en raison de l’architecture contemporaine qui manque de recoins favorables à leur nidification. Son installation « Palacio de Plagas » déploie ainsi une série de sculptures-perchoirs, dont les motifs évoquent les illustrations d’un jeu de société relatif à la campagne des quatre nuisibles.

Exposition. Jardin – Sebastián Dávila
Wunderkammer revient avec une 8ème Plateforme

Par l’occupation temporaire d’un ancien atelier de peinture situé sur le chemin des Clochetons à Lausanne, Wunderkammer se propose de réfléchir collectivement à ce qui définit un espace d’art et sa création.

Des artistes vont alors en explorer la structure, l’usage et le partage à partir des quatre éléments de l’architecture, énoncés par le théoricien de l’architecture Gottfried Semper, et auxquels un élément se rajoute : avec la clôture, la toiture, le terrassement et le foyer, place également au jardin ! Pensé en écho et verni au fil des mois, chaque chapitre convoque de nouvelles voix pour former un dialogue en palimpseste.

Pour ce troisième chapitre consacré au Jardin, l’artiste Sebastián Dávila propose une réflexion sur notre interdépendance avec les moineaux – dont la population décroît aujourd’hui en raison de l’architecture contemporaine qui manque de recoins favorables à leur nidification. Son installation « Palacio de Plagas » déploie ainsi une série de sculptures-perchoirs, dont les motifs évoquent les illustrations d’un jeu de société relatif à la campagne des quatre nuisibles.

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